Ce que j'ai le plus aimé la première fois, c'est le silence du moteur. Du fait de sa boîte automatique, la Nissan LEAF est aussi beaucoup plus facile à conduire, et ses accélérations sont
14 astuces pour conduire une voiture en hiver Vous avez planifié un voyage au Canada cet hiver et vous désirez découvrir son visage fascinant au volant de votre voiture de location ? Bonne idée ! Vous serez transporté dans un univers merveilleux. Cependant, si vous conduisez une voiture sur des routes enneigées pour la première fois, nous vous recommandons de lire ce qui suit afin que votre aventure ne se transforme pas en mésaventure. VOIR NOS ROAD TRIPS D'HIVER 14 ASTUCES POUR CONDUIRE EN HIVER 1 - Planifiez chaque voyage. Vérifiez les conditions météorologiques et routières avant de prendre la route. Ne prenez pas de chances inutiles. Donnez-vous un peu plus de temps pour voyager ou attendez que les conditions s'améliorent. 2 - Portez des vêtements confortables afin de ne pas vous sentir à l'étroit derrière le volant. Emportez des vêtements chauds au cas où vous devriez sortir de la voiture. Prenez des mitaines ou des gants, des bottes, des chaussettes chaudes et un chapeau. 3 - Avant de démarrer la voiture, vérifiez le réservoir de lave-glace. Il doit être rempli et ce, d'un fluide convenant à des conditions pouvant atteindre - 40 °C. Vous constaterez que conduire sur les routes du Canada en hiver salit beaucoup le pare-brise ; vous devrez constamment le nettoyer à l'aide de vos essuie-glaces. Manquer de lave-glace peut réduire énormément votre visibilité. Il s'agit donc d'un manquement à votre sécurité et à celle des autres. L'un des meilleurs conseils que nous pouvons vous donner est de conserver une bouteille de lave-glace supplémentaire dans le coffre de votre véhicule. 4 - Après avoir démarré la voiture, ouvrez le chauffage à la fonction "defrost" dégivrage. Cela empêchera vos vitres de s'embuer. Déneigez et déglacez les vitres, les phares, les rétroviseurs, mais aussi le toit de votre véhicule. Chaque voiture devrait être équipée d'un balai à neige et d'une spatule pour déglacer. Attendez que les fenêtres soient entièrement dégivrées avant de prendre la route. 5 - Maintenez le réservoir de carburant aussi plein que possible. S'il n'est jamais agréable de tomber en panne d'essence, c'est bien pire en plein hiver! 6 - Allumez tous vos phares et feux lorsque la visibilité est mauvaise. 7 - Demeurez alerte, réduisez votre vitesse et gardez la maîtrise de votre véhicule. Laissez assez d'espace entre vous et le véhicule qui vous précède. En effet, la traction des pneus sur les routes mouillées ou couvertes de neige fondue est réduite. La distance de freinage est donc plus longue. 8 - Méfiez-vous de la glace noire. Nous avons parfois l'impression que la chaussée est sèche, même s'il s'agit en réalité d'un effet d'optique. Il arrive parfois qu'une mince couche de glace recouvre la chaussée, invisible à l'oeil nu. Même si ce n'est pas le cas, conduisez comme si la chaussée était recouverte de glace en tout temps. Cela vous fera adopter une conduite sécuritaire. 9 - Ne freinez jamais brusquement. S'il y a urgence, pompez les freins plutôt que de les maintenir enfoncés. Ralentissez à l'approche d'une courbe plutôt que de toucher au frein dans le virage. Cela pourrait vous faire perdre le contrôle de votre véhicule. 10 - Souvenez-vous de ce que vous devez faire si votre véhicule commence à déraper. Retirez votre pied de l'accélérateur afin de décélérer et de reprendre la maîtrise de votre véhicule. Dirigez le regard là où vous désirez vous diriger et tournez le volant dans cette direction. 11 - Regardez loin devant sur la route et tentez de prévoir les dangers afin d'avoir assez de temps pour réagir. Ralentissez cela vous évitera de tourner soudainement le volant et d'avoir à freiner ou à accélérer rapidement. Les mouvements brusques peuvent vous faire déraper. Soyez particulièrement attentif lorsque vous approchez des ponts autoroutiers. Ces sections de la route gèlent plus rapidement et demeurent glacées plus longtemps pendant la journée, vu leur altitude plus élevée. Soyez à l'affût de la glace noire, des plaques noires et brillantes sur la route. 12 - Restez dans votre véhicule si vous êtes coincé ou pris dans une ornière. Attirez l'attention sur votre véhicule à l'aide de vos feux de détresse. Si vous devez quitter votre véhicule, sortez par la portière la plus éloignée de la circulation. Faites tourner le moteur avec modération faites attention aux gaz d'échappement et baissez légèrement une glace pour faire entrer de l'air frais. 13 - Si vous devez effectuer un appel avec votre téléphone cellulaire, éloignez-vous de la route et immobilisez votre véhicule. Rappelez-vous qu'il est interdit au Canada de parler au téléphone tout en conduisant. 14 - Selon la loi instaurée par le ministère des Transports, tous les véhicules au Québec doivent être chaussés de pneus neige entre le 15 décembre et le 15 mars. AUTRES SUJETS SIMILAIRES Comment réserver mon voyage d'hiver? Quand réserver? Comment s'habiller en hiver? Voyager avec des enfants en hiver Quand voyager en hiver au Canada? VOIR PLUS

Donc voici les 8 premières étapes pour une installation parfaite : 1) La hauteur : Ce réglage n’est hélas pas disponible sur les véhicules les plus anciens, mais la voiture que vous conduisez à l’auto-école en est certainement équipée. Alors, je règle la hauteur de mon

Comment démarrer sa voiture puis s’arrêter est la première chose que vous apprendrez lors de vos cours de conduite. Ces moments de la conduite seront également les premiers éléments observés à l'examen du permis. Vous devez les maîtriser pour ne pas perdre de points inutilement lors de votre évaluation. 1. L’installation au poste de conduite 2. Les 3 pédales des voitures manuelles 3. Comment démarrer sa voiture ? 4. Comment freiner et s’arrêter sans caler ? L’installation au poste de conduite Avant tout, vous devez vous installer correctement au volant afin d’avoir une conduite confortable et sécuritaire. Soyez particulièrement attentif à votre position par rapport aux pédales et au volant ainsi qu’à l’optimisation de votre champ de vision. Pour vous installer correctement à votre poste de conduite, pensez donc à Régler la distance entre votre siège et le pédalier. En effet, vous devez pouvoir débrayer sans avoir à tendre complètement la jambe gauche, mais plutôt en la maintenant légèrement fléchie. Régler la hauteur de votre siège afin de vous assurer un champ de vision large. Régler la position de votre dossier pour vous tenir bien droit et la profondeur du volant afin d’avoir les bras ni complètement tendus, ni trop repliés et d’assurer des mouvements souples. Les 3 pédales des voitures manuelles Les voitures équipées d’une boîte à vitesse manuelle ont trois pédales la pédale d’embrayage, la pédale de frein, la pédale d’accélération. Les voitures à boîte automatique n’ont pas la pédale d’embrayage. Lors de votre première leçon de conduite, l’instructeur vous expliquera la fonction de chaque pédale ainsi que leur effet sur d’autres éléments de la voiture moteur, freins…. La pédale d’embrayage La pédale d’embrayage se situe à l’extrême gauche. Elle sert à lier et à couper le lien entre le moteur et les organes de transmission permettant de changer les vitesses. Lors de votre première leçon, votre moniteur vous apprendra à trouver le point de patinage, autrement dit la zone transitoire entre l’état débrayé et embrayé. C’est le moment ou le contact entre les roues et le moteur se fait. Ce contact doit se faire en douceur pour ne pas caler et démarrer avec classe ! Rappelons que pour embrayer, vous relâchez la pédale d’embrayage et pour débrayer, vous enfoncez la pédale d’embrayage. Vous débrayez défaire le lien juste avant de passer la 1re vitesse, de changer de vitesse ou d’appuyer sur le frein. Vous embrayez pour refaire le lien avec le moteur juste après avoir passé une vitesse. Apprendre à repérer le point de patinage, ne pas débrayer trop vite, ne pas accélérer pendant que l’on embraye, etc. seront autant d’actions à bien maîtriser afin de ne pas caler et de protéger le moteur. La pédale de frein La pédale de frein, qui se trouve au milieu, est en lien direct avec le moteur. Pour faire ralentir le véhicule, vous devez appuyer sur la pédale de frein. Si vous voulez arrêter complètement la voiture, vous devrez enfoncer la pédale d'’embrayage juste avant de freiner complètement pour ne pas caler. La force de freinage est proportionnelle à la pression que vous exercez sur la pédale de frein. La pédale d’accélération La pédale d'accélération, qui se situe à l’extrême droite, permet de faire avancer le véhicule et de réguler sa vitesse. Elle sert à accélérer, mais également à freiner si vous la relâchez. Comme pour la pédale de frein, la puissance motrice qu’elle engendre est proportionnelle à la pression exercée dessus. Sur une voiture manuelle, démarrer peut être une source de stress pour les jeunes conducteurs, car ils calent régulièrement. C’est normal, ils ne connaissent pas bien le véhicule et ne maîtrisent pas encore le point de patinage. Dans ce cas, le mieux est de ne pas paniquer et de prendre le temps de bien réaliser les six étapes suivantes Appuyer au maximum sur la pédale d’embrayage débrayer. Enclencher la première vitesse. Accélérer légèrement et maintenir le niveau d’accélération; Enlever de la pression sur la pédale d’embrayage jusqu’au point de patinage et bloquer l’embrayage lorsque le bruit du moteur change. Appuyer un peu plus sur la pédale d’accélération tout en relevant doucement le pied gauche de la pédale d’embrayage patiner. Enlever complètement son pied gauche puis le reposer près de la pédale d’embrayage tout en continuant à accélérer. Si malgré votre application vous calez à nouveau, ce qui peut arriver à n’importe qui, ne paniquez pas. C’est souvent à cause de gestes hâtifs dus au stress que l’on cale à plusieurs reprises. Restez en première vitesse, débrayez à fond et remettez la clé en position 0 pour redémarrer le moteur. Nous sommes tous passés par là, vous allez y arriver ! Une fois lancée, vous devez être capable de stopper votre voiture à temps pour ne pas risquer un accident. Vous avez 2 possibilités pour freiner utiliser la pédale de frein et rétrograder pour enclencher le frein moteur. Ainsi, une fois que vous avez repéré l’endroit où vous pouvez vous arrêter en toute sécurité et sans gêner la circulation des autres usagers de la route, voici les étapes à suivre Relâchez la pédale d’accélération et positionnez votre pied droit au-dessus du frein. Commencez doucement à freiner en appuyant sur la pédale de frein. Débrayer enfoncez la pédale de l’embrayage avec votre pied gauche pour passer la vitesse inférieure si vous êtes en 4e, passez la 3e. Embrayez relâchez la pédale après avoir passé la vitesse inférieure. Continuez à freiner et rétrogradez jusqu’à la 2e vitesse. Debrayez à fond juste avant de finir de freiner. Cette étape est importante pour ne pas caler. Gardez vos pieds sur la pédale d’embrayage et la pédale de frein. Passez la 1re vitesse si vous vous arrêtez à un feu et que vous allez redémarrer. Mettez votre boîte de vitesse au point mort si vous souhaitez arrêter complètement le véhicule. Lâchez la pression de la pédale d’embrayage et serrez le frein à main avant de retirer votre pied de la pédale de frein. N’oubliez pas qu’il faut de préférence rétrograder jusqu’à la 2e vitesse pour vous arrêter. Si vous agissez ainsi lors de l’évaluation, cela montrera à l’examinateur que vous avez été capable d’anticiper votre arrêt. Si la distance pour freiner n’est pas assez longue, vous pouvez rétrograder 2 vitesses en dessous passer directement de la 4e à la 2e par exemple, mais vous devez avoir suffisamment freiné. Pour un arrêt d’urgence, bien entendu, vous devez utiliser la pédale de frein en priorité pour vous arrêter au plus vite.
depuisque j'ai le permis , p*tain c'est tellement jouissif d'être tout seul dans sa voiture, pouvoir mettre du Kaaris à fond en toute impunité - Souhaitez-vous entamer les démarches d’immatriculation de votre voiture d’occasion que vous venez d’acquérir ? Cela est une excellente idée dans la mesure où vous ne pouvez pas circuler en toute légalité sans l’accomplissement de cette formalité. Voici les documents que vous devez nécessairement fournir pour immatriculer votre véhicule d’occasion. Immatriculation d’une voiture d’occasion déjà immatriculé sur le territoire français Lorsque la voiture d’occasion à immatriculer a précédemment fait l’objet d’une immatriculation en France, vous devez adjoindre à votre dossier un certain nombre de documents. Parmi ces pièces justificatives, vous retrouverez Le formulaire pour l’immatriculation de votre véhicule d’occasion ; La déclaration de cession Cerfa n°15776 que vous avez remplie avec le vendeur du véhicule ou la facture qu’il a établie ; Les professionnels doivent transmettre une déclaration d’achat de véhicule d’occasion Cerfa 13751 ; Une pièce d’identité valide ; Un justificatif de domicile ; Le certificat d’immatriculation carte grise de l’ancien propriétaire sur lequel sera inscrit vendu le… », ainsi que la signature de l’ancien propriétaire ; La preuve qu’un contrôle technique a été effectué il y a moins de 6 mois. Les documents indispensables pour un véhicule d’occasion précédemment immatriculé dans un pays de l’union européenne Pour ce genre de démarche, plusieurs documents doivent être fournis par le propriétaire de la voiture d’occasion à immatriculer. Citons notamment Le certificat de conformité européen délivré par le constructeur ; Un certificat d’acquisition du véhicule délivré par les services fiscaux un quitus fiscal ; La preuve qu’un contrôle technique a été effectué il y a moins de 6 mois en France ou dans un pays de l’Union européenne ; Le formulaire pour l’immatriculation de véhicule d’occasion immatriculé en Union européenne Cerfa n°13750 ; Un justificatif de vente certificat de cession Cerfa 15776, une facture, etc. Le certificat d’immatriculation de l’ancien propriétaire ou une pièce officielle équivalente ; Une pièce d’identité valide ; Un justificatif de domicile de moins de six mois. Les pièces exigées pour immatriculer une voiture d’occasion auparavant immatriculée en dehors de l’union européenne Si vous voulez immatriculer un véhicule d’occasion préalablement immatriculé dans un pays n’appartenant pas à l’union européenne, vous devez avoir à portée de main des documents tels que Un justificatif de vente certificat de cession Cerfa 15776, une facture, etc. L’ancienne carte grise du véhicule ou une pièce officielle équivalente ; Le certificat de dédouanement 846 A sauf si les services de douanes vous ont donné une dispense ; Un document qui atteste que le véhicule respecte bien les normes européennes ; Une pièce d’identité valide ; Un justificatif de domicile de moins de six mois ; Le formulaire pour l’immatriculation de véhicule d’occasion immatriculé en Union européenne Cerfa n°13750. Navigation de l’article
Pourde nombreux candidats à l’examen du permis de conduire, la finalité de leur apprentissage de la conduite demeure dans l’acquisition d’un véhicule. Cependant, lorsque l’on ne dispose pas de connaissances solides en mécanique, le choix d’une première voiture peut rapidement se transformer en parcours du combattant.
Electrique et nouvelles énergies > Passer à l'électrique Les véhicules électriques présentent des particularités de fonctionnement qui peuvent influencer directement la façon de les conduire. En effet, un moteur alimenté par des batteries électriques ne réagira pas exactement de la même façon qu’un moteur thermique. Quelles sont donc les spécificités à connaître pour conduire convenablement un véhicule électrique ? Par Jeanne - Publié le 12/06/2020 Lecture 3 min Savez-vous qu’intégrer des véhicules particuliers ou utilitaires électriques peut se révéler une idée judicieuse pour faciliter le quotidien de vos collaborateurs ? Prendre le volant de ce type de véhicules donne en effet accès à un véritable confort de conduite, notamment grâce à une prise en main qui se fait très facilement. Pour exploiter pleinement les atouts d’un véhicule électrique, il sera toutefois nécessaire d’adapter la conduite aux capacités du moteur, d’une part pour améliorer l’autonomie de la batterie et, d’autre part, pour profiter des bénéfices du véhicule plus longtemps. Voitures électriques un mode de fonctionnement différent des moteurs thermiques Contrairement à un moteur thermique, le moteur électrique a un couple immédiat, c’est-à-dire que la puissance du moteur peut être transmise directement aux essieux, ce qui permet une accélération continue et fluide, en une seule fois. Le moteur thermique, lui, doit monter dans les tours au fur et à mesure, en passant les vitesses la courbe d’accélération sera donc moins directe. La puissance d’accélération d’un véhicule électrique peut donc impressionner et reste à manier avec précaution. D’une part, pour la sécurité du conducteur et des passagers dans le respect du Code de la route ; et d’autre part afin de préserver l’autonomie de la batterie en cas d’accélérations fortes et répétées, la batterie se déchargera plus rapidement. On préférera donc des accélérations douces et modérées qui feront gagner en confort de conduite et en longévité de la batterie à court et long termes puisqu’une utilisation de la batterie dans les règles de l’art améliorera sa durée de vie. Conduire une voiture électrique pensez au frein moteur régénératif L’une des caractéristiques vraiment innovantes des véhicules électriques provient de sa capacité à recharger les batteriesen accumulant l’énergie produite par le frein moteur. Concrètement, lorsque le conducteur relâche l’accélérateur, l’énergie cinétique du moteur soit l’énergie produite par la vitesse est récupérée et transformée en électricité par le moteur lui-même, avant d’être retransmise à la batterie. Grâce à ce procédé, l’autonomie des batteries peut être augmentée de 20%. Il est donc plus judicieux d’utiliser davantage le frein moteur que la pédale de frein. En connaissant précisément le fonctionnement des freins des véhicules électriques de votre flotte, vous pourrez sensibiliser vos conducteurs à la meilleure manière de les utiliser pour ménager l’autonomie des batteries, tout en leur garantissant une conduite souple et confortable. Adapter sa conduite à la situation la clé pour conduire une voiture électrique Dans les embouteillages, sur une route de campagne ou sur l’autoroute, le conducteur doit savoir modifier son comportement au volant et anticiper au mieux les obstacles ou les ralentissements qu’il pourrait rencontrer. Dans les bouchons, l’utilisation du frein moteur est préférable à la pédale de frein, afin d’éviter des changements d’allure trop brutaux. Un freinage trop soudain est d’ailleurs susceptible de surprendre les conducteurs qui vous suivent, augmentant les risques d’accident. Une conduite souple doit rester la priorité, aussi bien en milieu urbain que sur l’autoroute. Une vitesse trop élevée, au-delà de 100 km/h, n’est pas sans conséquence sur l’autonomie de la batterie ! Le conducteur qui emprunte l’autoroute lors de ses déplacements doit donc faire preuve de vigilance pour conserver une allure modérée synonyme de sécurité et de confort de conduite. Une conduite adaptée permet de réduire la consommation de votre voiture électrique Conduire une voiture électrique, c’est donc modifier son comportement au volant en adaptant sa conduite et en intégrant de nouvelles habitudes. L’éco-conduite, qui repose sur des gestes plus souples. A la clé une meilleure maîtrise de l’autonomie de votre véhicule, avec des coûts de recharge réduits grâce à une autonomie des batteries idéalement exploitée. Une conduite plus fluide vous apporte en outre un rapport à la route différent et plus apaisé, avec en prime des bénéfices en matière de respect de l’environnement. Conduire une voiture électrique moins de bruit… et plus de confort Aussi bien pour le mode de fonctionnement de son moteur que pour son freinage spécifique, la voiture électrique apporte de vrais bénéfices en termes de confort de conduite. Un constat qui s’explique également par le centre de gravité très bas sur ce type de véhicules, principalement lié au poids des batteries au niveau du plancher, et qui favorise une bonne tenue de route. Des avantages de premier plan qui se marient avec une absence de bruits particulièrement appréciée par les conducteurs réguliers… mais aussi par les riverains et élus locaux de plus en plus soucieux de ces problématiques sonores ! Pour aller plus loin Conduire une voiture électrique en adoptant une éco-conduite Electromobilité devenez incollable sur ces notions essentielles ! Véhicules utilitaires électriques les modèles incontournables ← Retour
Conseilset astuces pour conduire seul pour la première fois Après avoir passé plusieurs semaines à apprendre à conduire avec un moniteur ou une monitrice d’auto-école, vous avez enfin réussi l’examen du permis de conduire et vous êtes fin prêt à prendre la route en toute autonomie. Ce premier pas est sans doute le plus intimidant. Pas de panique.
Le plus dur est fait, vous avez obtenu votre permis de conduire et vous êtes fin prêt à rouler seul. Souvent, cette première expérience paraît gênante. Ainsi, vous vous laissez envahir par la peur et le stress. Inutile de paniquer, restez calme ! N’oubliez pas que conduire une voiture nécessite de l’attention et de garder votre sang-froid. Par contre, le risque de causer un accident est élevé si vous perdez votre concentration. Ayez confiance en vous Quand vous avez préparé votre code de la route en ligne, le plus important est de réussir votre examen. Même bien préparé, vous risquez d’être stressé le jour de l’examen et pourtant vous y arriverez quand même ! - Annonce - Pour la conduite, c’est pareil. Lorsque vous commencez à conduire seul, il vous arrivera de vous faire klaxonner comme n’importe quel conducteur débutant. Pour autant, ne cessez pas de croire en vos capacités. Avec plus de pratique, vous allez maîtriser petit à petit l’art de la conduite, quelles que soient les situations. Être seul au volant sans être accompagné d’un moniteur ne signifie pas que vous allez forcément provoquer un accident. Acceptez votre manque d’expérience Conduire seul pour la première fois n’est pas toujours évident pour un débutant. À certains moments, il se peut que vous doutiez de vos compétences. Or, vous devez accepter votre manque d’expérience. Faites juste preuve de plus de vigilance lorsque vous prenez le volant. Par exemple, n’oubliez pas de jeter régulièrement un coup d’œil dans votre rétroviseur. Sachez qu’il est tout à fait normal d’avoir peur au début. Ensuite, vous vous habituerez au cours du temps. Votre manque d’expérience ne doit pas vous empêcher de réussir votre premier pas. L’expérience s’acquiert avec le temps et la pratique. - Annonce - Détendez-vous au volant L’une des clés de la réussite lors de votre première expérience en conduite autonome est la détente. Ainsi, lorsque vous conduisez pour la première fois, réunissez toutes les conditions pour ne pas vous stresser. Respirez un bon coup, relâchez vos muscles et tenez le volant d’une main ferme. Videz votre esprit de toutes les pensées parasites. Pourquoi ne pas écouter des chansons qui vous mettent de bonne humeur ? Chantez autant que vous le souhaitez et faites tout pour ne pas vous mettre la pression. Cela va vous aider à vous concentrer davantage et à vous focaliser sur votre conduite. Conduisez accompagné avant le grand saut À force de conduire, vous allez acquérir davantage d’expérience et de confiance en vous. N’attendez donc pas de longs mois après l’obtention du permis pour prendre le volant. Au début, demandez à être accompagné par un conducteur expérimenté. Cela permet d’avoir les bons réflexes en fonction de la situation qui se présente. Ainsi, quand vous conduirez seul, vous ne rencontrerez pas d’énormes difficultés à appliquer les leçons apprises. Par exemple, vous maîtrisez facilement l’utilisation des feux de signalisation comme les phares, les clignotants et le feu de détresse. Parcourez de courtes distances au début Il y a un début à tout. Pour commencer à conduire seul, optez pour un trajet de courte distance qui ne dépasse pas une dizaine de kilomètres. Cela vous permet, en parallèle, de vous familiariser avec la circulation et de vous entraîner à la conduite. Puis, vous pouvez étendre votre itinéraire au fur et à mesure que vous progressez. Pour plus de précautions, placez la lettre A » sur le coffre de votre voiture pour signaler aux autres automobilistes que vous êtes encore un apprenti. Respectez la bonne distance de sécurité. Cela vous évite d’entrer en collision avec la voiture qui vous précède. Accordez-vous des moments de pause Les premiers trajets sont souvent éprouvants, prenez le temps d’effectuer des petites pauses. Il est vivement déconseillé de continuer à conduire lorsque vous ressentez de la fatigue ou un malaise. Observez une pause et accordez-vous un moment de détente pour reprendre des forces. Ensuite, vous êtes prêt pour reprendre la route en toute sérénité et sans craindre d’entraîner un accident. Concentré et alerte, vous ne risquez pas par exemple de faire un excès de vitesse. De même, vous êtes moins sensible au stress au volant. Être conducteur débutant ne doit pas être un obstacle pour conduire seul. Cela ne signifie pas aussi que vous allez renoncer face à la moindre difficulté. Les plus importants sont votre confiance en vous et votre volonté d’être autonome derrière le volant. En vous inscrivant, vous acceptez nos politiques de confidentialité et RGPD. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment sans aucune justification. JSWWiI.
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